L'EXPRESS DE TORONTO

SEMAINE DU 16 DÉCEMBRE 2014

Les cinq coups de coeur du chroniqueur Paul-François Sylvestre - L'Express de Toronto

Brûlants secrets de Marianne
, parmi les cinq coups de coeur des 50 livres lus pendant l’année 2014, pour le chroniqueur Paul-François Sylvestre de l’Express de Toronto.
Voici l’hyperlien pour l’article dans L’Express,  semaine du 16 décembre au 22 décembre 2014
http://www.lexpress.to/archives/14798/

« Lysette Brochu, Brûlants secrets de Marianne, roman, Ottawa, Éditions du Vermillon.

La Marianne du titre entame sa vie adulte dans l’Est ontarien en cachant à son mari deux terribles secrets qui vont la hanter une fois établie dans le Nord, voire la plonger constamment dans «des périodes d’errance et de désespoir absolu».

Le roman peint un vibrant portrait des années de colonisation dans le Nord ontarien, lesquelles coïncident avec la Première Guerre mondiale, la grippe espagnole et de grands incendies de juillet 1916 et octobre 1922. Avec
Brûlants secrets de Marianne, Lysette Brochu a réussi à évoquer avec brio toute une page de notre histoire. »

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Un troisième tome des Nouvelles de Gatineau

Le mercredi 1er octobre 2014
Numériser 140717 1

Muséoparc Vanier

Le 16 septembre 2014

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Muséoparc Vanier

Le 5 septembre 2014Muséoparc Vanier

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L'EXPRESS d'Ottawa

L'EXPRESS d'Ottawa, le jeudi 3 juillet 2014
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...Plus facile à lire...

Mail0996 - Version 2

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Bulletin de l' ADNAL, Brûlants secrets de...


Voici la recension de Madame Louise Lapointe qui a paru dans le
Bulletin de liaison « Nicolas et Magdeleine » de l’Association des Descendants de Nicolas Audet dit Lapointe ADNAL 
Bulletin no 36, juin 2014, p. 9

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Pour lire plus facilement la recension
Mail000790 - Version 2
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La Revue, "De brûlants secrets et un pan d'histoire"


La Revue, le mercredi 25 juin 2014
Marie Pier Lécuyer

« 
LITTÉRATURE. Auteure accomplie avec de nombreux ouvrages à son actif, Lysette Brochu hésitait pourtant à se qualifier d’écrivaine. Avec la publication de son premier roman, Brûlants secrets de Marianne, un rêve de jeunesse enfin réalisé, elle se permet maintenant ce titre qu’elle s’est longtemps refusé. »
... pour la suite, lire l'article de Marie Pier...

ZZZ La Revue, Brûlants...Mail000787 - copie 2

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TV Rogers - ENTRE NOUS

Rogers télé-Ottawa, émission Entre nous.

Publié le 18 juin 2014 par 
bourgonm
 
Critique littéraire
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Brûlants secrets de Marianne
de Lysette Brochu aux Éditions du Vermillon. Lysette, tout le monde la connaît. Elle a écrit toute sa vie. Elle a même écrit sa vie dans Parfum de rose et de tabac. Elle nous revient avec son tout premier roman et ma foi, c’est vraiment une réussite. Dès le début de l’histoire, la mère de Marianne va se pendre. Elle souffre de maladie mentale ( bi-polarité). Marianne va grandir seule, quasi orpheline, placée par son oncle et sa tante dans un pensionnat dirigé par les sœurs. Lors d’une sortie, elle subira les gestes déplacés de son père et elle n’oubliera jamais. Voilà pour l’intrigue. Mais ce qui est absolument magnifique dans ce roman, c’est le tableau de mœurs que Lysette Brochu brosse. On revoit toutes les coutumes de l’époque, la vie courageuse des femmes franco-ontariennes, obligées de vivre leurs espérances loin de toutes commodités. Tout cela est excellemment bien décrit. On vit avec les personnages, on ressent leurs émotions, leurs angoisses. Le langage, émaillé de régionalismes est savoureux. On le déguste à grandes lampées. Un livre à lire avec ouverture et curiosité. Un livre qui doit rendre fier d’être franco-ontarien. Bravo Lysette ! Pour poster un commentaire, voir:  http://bourgonm.wordpress.com

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L'Express/Brûlants secrets de Marianne

L'EXPRESS
L'HEBDO DES FRANCOPHONES DU GRAND TORONTO


Par
Paul-François Sylvestre – Semaine du 27 mai au 2 juin 2014

Fresque dramatique développée avec brio

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Lysette Brochu, Brûlants secrets de Marianne, roman, Ottawa, Éditions du Vermillon, 2014, 282 pages, 20 $.
Après avoir signé quinze ouvrages, surtout des livres pour enfants et élèves du primaire, ainsi que des récits ou tableaux de vie, la Franco-Ontarienne Lysette Brochu nous offre un roman pour grand public. Elle relève ce défi avec brio en publiant
Brûlants secrets de Marianne, une fresque dramatique qui s’étend de 1894 à 1934 et qui nous promène de Fournier, Casselman et Vankleek Hill (Est ontarien) à Cobalt, Matheson et Kirkland Lake (Nord-Est ontarien). La Marianne du titre entame sa vie adulte en épousant Albert Sirois et en lui cachant deux terribles secrets (que je ne dévoilerai point pour ne pas gâcher votre plaisir de lecture). Disons tout simplement que ces deux brûlants secrets non confessés sont aussi pesants qu’une chape de plomb. Ils traumatisent la jeune femme et la plongent constamment dans «des périodes d’errance et de désespoir absolu». Le roman peint un vibrant portrait des années de colonisation dans le Nord ontarien, lesquelles coïncident avec la Première Guerre mondiale, la grippe espagnole et de grands incendies. Le 29 juillet 1916, un effroyable sinistre détruit plus de 500 000 acres dans la région de Matheson; le nombre de victimes s’élève à 300 et 500 familles perdent tout ce qu’elles possédaient. Le 4 octobre 1922, un autre incendie détruit presque tout le sud de Haileybury et le village de North-Cobalt. Le bilan s’avère lourd: 18 cantons ravagés, 33 morts, 1 565 logis incendiés, 6 566 personnes sans abri. La romancière écrit que «des familles erraient, dans le dénuement complet, privées de vêtements, de nourriture, de logement. Tant de victimes avaient vu des proches se transformer en torches vivantes.» Ce roman rappelle la période du Règlement 17 (1912-1927) où l’enseignement en français était à toutes fins utiles banni en Ontario. Albert Sirois se dit que le prix à payer pour vivre à Matheson, en 1918, c’est d’envoyer son enfant à une école anglaise. Il n’y voit rien de mal car c’est la langue des «gros boss. Tu vas pas loin dans vie si tu sais parler la langue des patrons.» Son épouse Marianne ne partage pas cet avis, bien au contraire. Pour elle, la langue est la gardienne de la foi. Et la lecture demeure un puissant levier culturel. Même si elle n’a terminé que sa huitième année, elle sait enseigner le français à ses huit enfants (elle en a perdu trois autres en bas âges). La progéniture de Marianne porte des noms comme Rose, Lionel, Muguette ou Laurier. Plusieurs personnes adultes du roman, eux, sont affublés de prénoms plus colorés: Mastaï, Démerise, Orphir ou Dorilda. Lysette Brochu colore son récit de dialogues qui semblent très réalistes ou typiques de l’époque. En voici un exemple: «Mon Dieu! bretter d’même, c’est à croire qu’y reviendra pas. Y’a belle lurette qu’y aurait dû ersoude, y’ambitionne su’ l’pain bénit.» Chaque chapitre du roman est coiffé d’une citation d’un auteur, le plus souvent franco-ontarien. En exergue du chapitre 25, on peut lire ce mot de Stefan Psenak: «c’est pas les prétexte qui manquent pour être malheureux». De toute évidence, Marianne n’a jamais pu oublier le passé, faire un trait sur les vieilles blessures et choisir d’être heureuse. Elle est aux prises avec des «humeurs étranges», ce qui semble presque invariablement attirer la misère sur sa famille. Cette fresque dramatique – je ne vous le cache point – a une fin tragique… Je vous signale, en passant, qu’on trouve à la fin du livre un glossaire renfermant des expressions, régionalismes ou anglicismes. En voici quelques exemples: hand-me-downs (vêtements usagés), instipoller (être indigné, vexé, insulté), lessi (eau de lessive faite à partir de cendres), ouaguinne (wagon prononcé à l’anglaise). Avec Brûlants secrets de Marianne, Lysette Brochu a réussi à évoquer avec brio toute une page de notre histoire. Elle est une digne descendante d’Hélène Brodeur.
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CRCO Regard sur ... Lysette Brochu


Voir
un reportage sur le travail d'écriture de Lysette (et sur les animations qu'elle fait avec son époux Maurice).

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Conseil Régional de la Culture de l'Outaouais, le 27 mai 2014.
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http://www.crco.org/regard_sur.php?task=arch&id=50

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Spécial littéraire / Entre les lignes TFO

Écoutez une critique du roman Brûlants secrets de Marianne à l’émission  Entre les lignes, un spécial littéraire de TFO animée par Gisèle Quenneville, Sophie Perceval, chroniqueuse littéraire, et François Paré, professeur de littérature...


L’émission a été enregistrée devant les membres du Club de lecture francophone de Hamilton.


Émission TFO — au chrono. 3 :06 à 10 :09
http://www3.tfo.org/videos/00213614/entre-les-lignes


«Brûlants secrets de Marianne, un roman troublant auquel je pense tout le temps maintenant. Il y a une faute originelle dans ce livre. Je suis d’accord avec l’interprétation de Sophie Perceval lorsqu’elle dit que c’est l’histoire des femmes dans ce milieu très difficile, mais en même temps, c’est l’histoire plus profonde que ça... Derrière ce roman, c’est l’histoire de l’Ontario français qui est racontée…» 

François Paré, émission «Entre les lignes», (TFO)

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CULTURE HEBDO/ Brûlants secrets de Marianne

Culturehebdo.com
ou
http://www.culturehebdo.com/livres-avril-2014.htm (vers la fin des critiques)
Agence de presse culturelle destinée aux hebdos régionaux de la province
Co-chefs de pupitres: Daniel Rolland et Sylvain Champagne


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Pauvre Marianne

C’était une jeune fille qui avait d’autres aspirations, cette Marianne qui a perdu sa mère lorsqu’elle était âgée d’à peine trois ans. Elle sera élevée chez une tante à Casselman en Ontario puis dans un couvent. Elle a huit ans quand son père réapparait finalement. Marianne voulait entreprendre des études, il n’en sera plus question puisque le père la traine dans une région minière. À quinze ans elle rencontre Albert qui a dix ans de plus qu’elle. Ils vont se marier. Avec des naissances à répétition et des mort-nés. Et la misère qui colle à leur peau. C’est du Zola franco-ontarien!
Avec Brûlants secrets de Marianne c’est aussi en toile de fond l’existence difficile des franco-ontariens. Quel grand roman. On pense à toutes ces femmes qui sont passées à côté de leur existence pour répondre aux codes sociaux exigés. Et toujours le manque de ressources financières.


Brûlants secrets de Marianne. Lysette Brochu. Vermillon

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Le MÉTROPOLITAIN /Atelier d'écriture

Le journal
LE MÉTROPOLITAIN (de Toronto)
Semaine du 4 au 10 juin 2014
-
Atelier d'écriture

Atelier d'écriture Missisauga

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Le Nord de Hearst, Brûlants secrets de Marianne

Le journal Le Nord de Hearst

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