Parfum de rose et de tabac



Parfum de rose et de tabac
Récits et tableaux de vie, poèmes, lettres et nouvelles
Les Éditions du Vermillon
par Lysette Brochu

Collection : Parole vivante
394 pages
Date de parution : sep 2011
Format : 15 x 22 cm
ISBN : 978-1-926628-49-3
Prix : 30 $

Parfum de rose et de tabac

Les fragrances des roses recèlent bien des secrets.
Pour Lysette, elles évoquent le parfum préféré de sa mère,
To a Wild Rose, d’Avon. Son père, lui, dégageait un arôme de tabac, comme tous les hommes des années cinquante.

Après
Saisons d’or et d’argile, Lysette Brochu tire à nouveau récits et anecdotes de son patrimoine familial où abondent drames et joies. Le cercle des amis n’est pas en reste et de touchants témoignages, livrés à la suite de décès, brossent des portraits colorés. Lysette aborde aussi la fiction ou l’essai, nous expose ses conceptions de la vie, de l’amour et de Dieu.
Parfum de rose et de tabac illustre les valeurs qui lui tiennent à coeur : la compassion, la tendresse et l’ouverture aux autres.
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Commentaires de lecteurs, lectrices

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9E3A63F5-9340-45DA-B848-65A819D1AD63
Ton livre me tenait agréablement compagnie. J'ai beaucoup appris de la vie québécoise de l'époque et de ta vie tout court. C'était un vrai régal. Merci.
Vicky Kalambay,
Gaspésie 2019


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PARFUM DE ROSE ET DE TABAC

Bonjour et merci de m’inviter pour partager avec vous mes impressions du livre Parfum de Rose et de Tabac, un récit de vie autobiographique qui fait suite à Saisons d’or et d’argile.

Premièrement, je tiens à dire un GRAND MERCI à toi maman, de nous offrir un trésor si précieux. Ici, dans ces 392 pages, on rentre dans ton univers. Tu nous transportes dans des moments touchants, surprenants, comiques, tragiques, intriguants.

Une de mes anecdotes préférée est Ma mère et Marie-Antoinette. Mais quel lien peux-tu faire entre ta maman et Marie-Antoinette? J’étais curieuse de le découvrir. Tu fais preuve d’une Grande Sagesse. C’est une lecture qui nous renvoie à nous-même, sur le sens que l’on donne à sa vie, une belle exploration spirituelle.

Et quoi dire de Le peintre de Pompano Beach, un souvenir qui évoque la Providence, le Miracle? Subtile ta façon d’amener le sujet.

Dans Les Belles Gourmandes... Un rendez-vous au restaurant Belles Gourmandes, deux anciennes amies se retrouvent après trente ans et les discussions ne se déroulent pas comme l’avait prévue Linda. Tout ça est cohérent, bien fait, intelligent. En même temps, c’est un vrai suspense. C’est une nouvelle bien fiscellée.

Tremblement de coeur, en lien avec le tremblement de terre en Haïti, ne peut pas nous laisser sans émotions. Un texte court qui nous emproigne d’un grand chagrin. ..La puissance de tes mots... Tu abordes le sujet avec une Grande Humanité.

C’est la faute d’Oprah... Quel tour de force tu as entre le titre, le dénouement et la conclusion: un souvenir de plus de vingt ans raconté d’après une émission spéciale de la Saint-Valentin, sous le signe du romantisme.

Parfum de Rose et de Tabac est un livre inspirant. Parce qu’il est à ton image. Ce sont des récits, des tableaux de vie, des poèmes, des lettres et des nouvelles. Des réflexions qui nous font grandir.

Tu le dis bien: “Écrire, par amour, pour laisser des traces.”

Bravo pour ce Chef-d’oeuvre!
Manon xx 25 février 2012

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Félicitations ma chère Lysette pour ta présentation à CJFO-FM.
  C' était merveilleux de t' entendre parler de Sudbury, tes propos étaient très justes sur le langage des gens de cette ville, où ma mère est née et a passé toute son enfance.
  Je t' embrasse,
 
Anita x x x

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De doux souvenirs
Le sujet des récits personnels vient de faire l’objet d’une thèse dans une université québécoise. On se demande quelles sont les motivations qui poussent des gens à vouloir se raconter ? On a un peu la réponse en lisant
 Parfum de rose et de tabac de Lysette Brochu. Pourquoi ce titre ? Parce que sa mère se parfumait avec une fragrance qui sentait la rose tandis que son père dégageait lui un arôme de tabac. C’est un récit de vie, qui n’a pas de plan déterminé. Ce sont autant de flashs narrant des histoires de famille, de sentiments amoureux, de deuils à faire. C’est très tendre. La réponse donc aux universitaires, c’est dans le cas de Mme Brochu le bonheur de partager une vie qu’elle aime. A sa façon elle reprend comme son chanteur favori Jean Ferrat le fameux C’est beau la vie, même si parfois ça fait mal.
Parfum de rose et de tabac. Lysette Brochu. Vermillon 390p. 
http://www.culturehebdo.com/livres_octobre_2011.htm

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Le 15 janvier 2012
Bonjour Mme Brochu
Je vous écris ce mot pour non seulement vous féliciter pour votre grand talent d'écrivaine mais aussi pour vous remercier de nous le partager. J'ai littéralement dévoré
Saisons d'or et d'argile ainsi que Parfum de rose et de tabac où il m'a fait tellement plaisir d'y découvrir pleins de souvenirs semblables aux miens que j'avais remisés dans un coin de ma mémoire. Votre style et votre plume m'ont tellement intéressée que je les comparerais au style et à la plume de Jean-Pierre Charland. Chapeau!  C'est vraiment un réel plaisir de vous lire!
  Vous m'avez beaucoup touchée dans plusieurs de vos récits et j'aimerais que vous sachiez que pour la prière avant notre repas de Noël en famille (décembre 2011), je me suis permise de lire votre tableau de vie
Un temps de communion: le repas familial tiré de votre livre Saisons d'or et d'argile. Un grand merci pour votre intégrité et que Dieu vous bénisse vous et toute votre belle famille!
Lise L.

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Le lundi 5 décembre 2011
Mme Brochu
J'ai dévoré "
Parfum de rose et de tabac" comme j'avais savouré "Saisons d'or et d'argile". C'est en plein le genre de livre que j'aime. On voudrait que ça continue encore et encore.
J'ai adoré votre rencontre, votre histoire d'amoureux, entre autres, les mots franco-ontariens aussi ! Et la page couverture donne envie de l'acheter. C'est un superbe cadeau de Noël à faire à quelqu'un. C'est bien écrit mais c'est simple, facile d'accès. Bravo! Toutes mes félicitations!
Denyse Marleau
Émission radiophonique hebdomadaire culturelle «Pastiche» au poste CHUO FM à Ottawa

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Salut Lysette,
Hier soir, je terminais la lecture de
Parfum de rose et de tabac. J’ai aimé – ta façon de dire, de raconter :   un accueil chaleureux, un amour de la vie, de ta famille et de ton Maurice - comme tu nous le transmets si bien.  Lysette, j’ai souri à l’évocation que tu fais de la possibilité de bénévolat à Coxcatlan au Mexique.  Je suis convaincue que tu aurais adoré tout comme moi. Continue à t’impliquer, c’est le sel de la vie.  À tous les deux, je vous souhaite bonne santé et longue vie. En toute amitié,
Madeleine
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Bien chère Lysette,
"Parfum de rose et de tabac", quel délice!  Les récits et anecdotes de tous les gens proches de toi, des temps passés, ont su m'émerveiller du commencement jusqu' à la fin du livre.  Je me suis faite tout un cadeau en me procurant ton livre!
  Je n' ose même pas le prêter, même si j' ai fini de le lire, parce que j' ai bien l' intention de le relire tant que le plaisir fut grand à le parcourir.
  Voilà pourquoi j' ai demandé à ton agent privé, Maurice,  de m' en vendre quatre autres, je ne pourrais pas offrir un plus beau cadeau aux gens que j' aime.
  Tu nous rappelles avec tant d' éloquence le doux parler de mes ancêtres de Sudbury et des souvenirs de jeunesse qui me font encore vibrer de bonheur; des artistes que nous avons tellement admiré et imité dans leurs chansons, dans leurs vêtements, dans leurs discours. 
  Je me retrouve dans ton amour pour ta culture, ta famille et tes amis, ton coin de pays, et au-dessus de tout notre Créateur.  En faite, ton livre est un album vivant de souvenirs.
  Tes  multiples photos rendent plus vivants les lieux et les personnages rencontrés dans ton livre et nous aident à mieux découvrir les événements  en cours dans tes récits.
  Longue vie, chère Lysette, je souhaite te lire encore et encore.
  Belle amitié,
 
Anita B.

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Voici une recension de mon livre "Parfum de rose et de tabac" par Michèle Bourgon. Je suis très contente de sa lecture de mon livre… Je la partage avec vous, et je vous fais connaître son site "Les humeurs de la Mère Michèle". 
http://bourgonm.wordpress.com/2011/11/12/parfum-de-rose-et-de-tabac/
Michèle Bourgon, fait des critiques littéraires pour la revue Liaison, elle est chroniqueuse culturelle pour des cybersites, professeure de littérature au CEGEP, écrivaine (entre autres, elle a publié FATUM cette année) et elle est directrice littéraire de deux collectifs.
Lysette

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Chère Lysette,
En sortant ton livre de mon sac, j’ai eu le malheur de l’ouvrir à la page de
Gabrielle. Je savais bien que je ne devais pas ouvrir ce livre avant d’avoir le temps de lire... Mais il était ouvert, alors j’ai lu Gabrielle, puis le peintre du miracle. Les deux m’ont fait pleurer. Puis en feuilletant, je suis arrivée au petit page de Frontenac Demain je lirai à nouveau quelques belles histoires du pays de Lysette.
Le secret au sujet de ton père m’a fait pleurer, de même que le cancer de ta grand-mère. Il y a des épisodes bien touchants dans la vie des nôtres.
Plus tard:
J’ai bien ri en lisant ton aventure sur la clôture. Robert Way m’avait raconté cet épisode dont tu peux maintenant rire. Je me suis réjouie de ta rencontre avec Maurice, de votre mariage et de l’arrivée de vos trois beaux enfants. Tant d’amour qui dure encore!
Colette St-D

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Très chère amie,
Je viens de passer  une semaine au chalet, ceci qui m'a permis de lire ton dernier-né. J'ai ri en te voyant à 4 pattes sur la glace avec Manon. J'ai pleuré  à la mort du bébé. Et finalement pendant que tu perdais connaissance  au resto, moi je me payais une mononucléose....Comme notre année à l'école normale a été difficile.... J'ai revécu ma première rentrée scolaire, sauf bien sûr la partie accrochée à la clôture, heureusement que je n'étais pas là...j'aurais certainement ri à faire pipi dans mes tites culottes, Encore une fois merci pour ce beau moment passé avec toi sur ma galerie au chalet. Je trouve tellement rassurant de lire ton amour pour ton beau Maurice et ta fierté pour tes 3 enfants et Danielle ta fille de coeur. Ta mission sur terre continue. Heureusement, parce que je veux te garder encore longtemps.
Thérèse XXOO
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Bonjour Lysette,
Je viens de finir de lire ton livre "PARFUM DE ROSE ET DE TABAC" .   Etait-ce voulu ainsi ?   Ce livre aurait aussi bien pu s'intituler "LYSETTE EN DEUX TEMPS": Lysette la femme, Lysette et son monde.  Ah Ah!
Ce livre m'a beaucoup plu.  Ta prose est comme une poésie.  C'est tellement beau. 
Dolorèse C.

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Chère Lysette,
  J'ai lu "Parfum de rose et de tabac", que j'ai bien apprécié.  J'ai savouré une nouvelle fois le récit de ta première journée d'enseignante.  Je me suis reconnue dans le "Rat de bibliothèque".  J'ai beaucoup aimé à la fin la section "Mon identité hybride". Ton récit du vernissage improvisé pour Gabrielle m'a beaucoup touchée et votre belle relation avec Danielle aussi.
  Bref, je te remercie pour ces doux moments où tu m'as ouvert gentiment les portes de ta vie.
  Je partage ton sentiment à propos du bruit envahissant. 
  Au fait, j'ai eu le plaisir de lire quelques mots écrits par moi dans ta préface, et aussi au verso de la couverture de ton livre.  Je me suis souvenue alors que tu m'en avais parlé il y a quelque temps, tu m'avais demandé si j'étais d'accord! 
Amicalement,
Michelle N. xxx

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Chère Lysette,
     Bravo ! J'en veux d'autres bons livres comme ces deux derniers. J'ai passé par des tas d'émotions et de questionnements de moi-même.
     Lorsque j'ai lu
Saisons d'or et d'argile, il me semble que je t'accompagnais main dans la main. Je vivais comme toi avec les mêmes mots de mon passé. Que d'émotions !
     Pourtant lorsque j'ai lu
Parfum de rose et de tabac, ce fut toute autre chose. Je te découvrais comme professeur et cette fois-ci au lieu de t'accompagner côte à côte, il me semble que c'était des leçons que j'écoutais religieusement.
     Tous ces beaux mots, cette façon de dire, d'expliquer, de partager avec tes lecteurs m'ont troublée.
     Cette personne que tu es, si connaissante, va-telle me gêner? Comment fait-elle pour se rappeler de si belles citations ? Où puise-t-elle ses mots si justes? Etc...etc..
     Bravo chère Lysette,
Yvonne Montreuil

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Bonjour Lysette,
J'ai beaucoup aimé ton livre
"Parfum de rose et de tabac". J'ai réalisé que nous avions beaucoup de point en commun et je me suis sentie très près de toi lors de cette lecture.
Merci de ces beaux moments que nous avons passés ensemble.
Liliane G.

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Mot de ma coiffeuse :
J'ai fini de lire votre livre. On en apprend des choses de vous… À quelques reprises, vous parlez de vos cheveux. C'est donc signe que c'est important pour vous. Puis, je ne savais pas que vous étiez si spirituelle. J'ai bien aimé l'histoire "Le peintre de Pompano Beach". J'ai pensé à une amie à moi en lisant votre hommage à l'artiste Claire. Des courts récits comme ça, j'aime beaucoup. Tellement que j'ai lu Parfum de rose et de tabac en trois jours. J'attends le prochain...
Sylvie 

Mot de la manucure : 
J'ai presque fini votre livre. C'est bon! J'ai ri en lisant votre histoire de la clôture (Vertiges de ma profession). J'ai bien aimé "Ma mère et Marie-Antoinette", enfin, toutes vos histoires. Lâchez pas.
Micheline

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Lysette,
Ça y est! Je l'ai !
Je suis en train de lire ton livre. Sais-tu d'où mon père est originaire ? De Saint-Polycarpe! Alors l'histoire de Pierre Cholette fait aussi partie de mon enfance. Ça me fait sourire:) Ma grand-mère avait le livre qui racontait cette histoire vraie. Je l'ai lu d'une traite. J'en frémissais :) J'en frémis encore. Pauvres enfants!
C'est super intéressant. Au-delà de ton histoire, c'est l'histoire de bien du monde que tu racontes.
On s'en reparle.
Plus tard:
Ton parfum de rose et de tabac flotte sur tous les gens qui ont vécu à ce moment-là. On y sent, ressent des souvenirs communs. Par exemple, l'histoire de Pierre Cholette ou encore l'histoire de vos fréquentations. C'est romantique; tellement toi.
Michèle B.

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Bonjour Lysette. 
Je lis présentement le dernier livre de Lysette Brochu.  Dès les premières pages, j’ai tout de suite été frappé par la légèreté et la clarté de l’écriture. (…)  J’ai été pris par ses histoires, parfois très banales, mais tellement bien racontées qu’on ne peut pas ne pas aller plus loin.  Il est vrai qu’elle est allée très loin dans les indiscrétions, mais de façon tellement humaine, sensible, émotive que je suis entré tête première dans son jeu.  J’ai été profondément ému par sa candeur, sa finesse et le sentiment général d’amour qui se dégage de chaque page.  Bravo Lysette!  Que je suis fier d’avoir eu la chance de te rencontrer et de te côtoyer.
Claude D.

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Bonsoir Lysette,
Je tiens d'abord à te mentionner à quel point j'ai apprécié ton nouveau livre «Parfum de rose et de tabac» que ta maison d'édition m'a fait parvenir en service de presse. Je viens ce soir vérifier à quel moment, tu pourrais en parler à mon émission?
J'ai envie de dire à tout le monde de courir afin de se le procurer.
Diane Marleau

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Chère maman,
RAT DE BIBLIOTHÈQUE
Maman, quand je l'ai lu, je l'ai vraiment aimé. Parce que ce texte te ressemble
tellement...il EST toi!!!!!
Au début, tu dis: "Enfant, on aurait pu m'oublier sur le seuil d'une bibliothèque publique et j'aurais vite fait de me sentir chez nous"...et je te vois
tellement dans cette image; heureuse parmi les livres.
Et quand je pense à mon enfance et que je t'imagine, tu es toujours accompagnée de livres.
Il y a soit tes livres de bibliothèques derrière ton image, soit que tu es entrain de lire dans un fauteuil ou encore entrain d'écrire à la table de cuisine, et encore assise au salon et que les piles de livres accumulés sur la table nous invitent à les ouvrir. Quel délice!

Et ça me fait sourire de lire: "Viens dormir, tu as les yeux rouges à rester si longtemps devant des pages de mots" que te dis papa. C'est
tellement vrai aussi. Je te vois somnoler… la tête qui branle d'un bord et de l'autre… "Mom, vas te coucher, tu dors deboutte!". C'est une phrase qui raisonne dans ma tête :)

J'aime la comparaison que tu fais dans ton texte de la lecture "de nuit", au bruit des pages qui tournent, un bruit semblable à celui d'un rat qui grignote. 

On veut surligner tout dans ce texte… parce qu'on veut se rappeler tes mots… ce que tu aimes, ce que tu aimes moins. On apprend à te connaître davantage. 

On sent ta passion des livres, tu la décris si bien. Et elle est contagieuse.

Je l'aime ton texte. Et je t'aime.
Manon xx

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Salut Lysette,
Je viens de commencer à lire Parfum de rose et de tabac.  Madame Demers, Jocelyne et Claude ont trouvé ton livre très beau!
Il est vraiment beau ton livre et touchant.  Tu écris très bien.  Je voudrais trouver le temps de m’installer sur le divan et lire quelques heures mais…    Je le savoure tranquillement.  Je t’en donnerai des nouvelles quand je l’aurai terminé.  Julie a terminé et elle a adoré.
Colette xoxox
Plus tard :
Raynold vient de terminer Parfum de rose et de tabac.  Il a beaucoup aimé lui aussi.  Ton livre est intéressant, touchant et très bien écrit.  Un voyage dans le passé... Bravo chère soeur!

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Chère Lysette
En me couchant, hier soir, j’ai apporté ton livre au lit et me suis délectée. 
Je l’ai lu pendant une bonne heure avec plaisir.... Celui de retrouver tes textes et leur évolution, le choix judicieux que tu as fait dans leur agencement, ton souffle comme une vague qui nous entraîne.
Bravo ! C’est une très belle réussite. J’ai hâte de le continuer
Loïse Lavallée

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Allô maman,
Je suis en train de lire ton livre. J'aime vraiment ça. C'est très bien écrit, en passant. J'ai appris des choses sur ma famille, par exemple, sur mon arrière grand-père. Il vivait vraiment dans la misère. J'ai aussi appris des choses à ton sujet. J'ai été surpris d'apprendre que tu avais failli mourir à quinze ans ? Puis, quelle histoire triste que celle de la petite Suzie qui est morte la journée de tes dix-huit ans ! Je ne savais pas non plus que tu avais fumé aussi longtemps. Tu as essayé la méthode au laser? Ça existait dans ce temps-là? Ha! ha! Enfin, tu vas devoir nous en écrire un autre livre comme ça. C'est précieux pour toute la famille. Je continue ma lecture...
Merci maman, je t'aime...
Pierre xoxoxoxoxo

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Allo Lysette, 
Je suis rendu a la page 194 de ton livre.  Je n'ai pas dévoré un seul livre comme ça depuis plus de 20 ans.  Il est tellement facile a lire, captivant, même avec les mots nombreux que je souligne, car je ne les connais pas... Je te reviens plus tard.
Odette, New York

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Une belle surprise en librairie!
http://bourgonm.wordpress.com/2011/12/19/une-belle-surprise-en-librairie/

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Bonjour Lysette,
Juste pour te dire que j’ai bien apprécié ton dernier livre,
Parfum de rose et tabac.
  Le titre m’intriguait beaucoup. Comme j’ai pu le constater, tu as tout un vécu. Toi et Maurice vous pensez beaucoup aux autres.
Bibiane
biblio@bibliocantley.qc.ca

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Blogue de Julie:
-Merveilleux voyage au pays de nos aïeux!  
La richesse du vocabulaire donne aux récits toutes les couleurs de l’arc-en-ciel!  Ça fait du bien de lire des mots justes, choisis, appropriés, évocateurs…  Des mots qui nous touchent et qui nous transportent!  
Quand avez-vous ri aux éclats lors d’une lecture?  Pleurez à gros sanglots?  Un livre “racines” qui nous rappelle d’où on vient.  Un incontournable!
Julie XXX
Et sur le blogue de Julie:
Merci Julie de proposer le livre de maman… Je te dis un GRANDMERCI à toi maman, de nous offrir un trésor si précieux. Ici, dans ces 392 pages, on rentre dans ton univers. Tu nous transportes dans des moments touchants, surprenants, comiques, tragiques, intrigants.
Une de mes anecdotes préférée est Ma mère et Marie-Antoinette. Mais quel lien peux-tu faire entre ta maman et Marie-Antoinette? J’étais curieuse de le découvrir. Tu fais preuve d’une Grande Sagesse. C’est une lecture qui nous renvoie à nous-même, sur le sens que l’on donne à sa vie, une belle exploration spirituelle.
Et quoi dire de Le peintre de Pompano Beach, un souvenir qui évoque la Providence, le Miracle? Subtile ta façon d’amener le sujet.
Dans Les Belles Gourmandes… Un rendez-vous au restaurant Belles Gourmandes, deux anciennes amies se retrouvent après trente ans et les discussions ne se déroulent pas comme l’avait prévue Linda. Tout ça est cohérant, bien fait, intelligent. En même temps, c’est un vrai suspense. C’est une nouvelle bien ficelée.
Tremblement de coeur, en lien avec le tremblement de terre en Haïti, ne peut pas nous laisser sans émotions. Un texte court qui nous imprègne d’un grand chagrin. ..La puissance de tes mots… Tu abordes le sujet avec une Grande Humanité.
C’est la faute d’Oprah… Quel tour de force tu as entre le titre, le dénouement et la conclusion: un souvenir de plus de vingt ans raconté d’après une émission spéciale de la Saint-Valentin, sous le signe du romantisme.
Parfum de Rose et de Tabac est un livre inspirant. Parce qu’il est à ton image. Ce sont des récits, des tableaux de vie, des poèmes, des lettres et des nouvelles. Des réflexions qui nous font grandir.
Tu le dis bien: “Écrire, par amour, pour laisser des traces.” Bravo pour ce Chef-d’oeuvre! Manon xx
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Le 27 avril 2015
Bonjour chère Lysette. 
J'aime beaucoup te lire. Ça me fait tout drôle de lire un auteur de mes connaissances.
Je passe de belles heures en ta compagnie. Ton écriture si fluide se lit avec aisance et me procure beaucoup de bonheur. Comme je te trouve saine et ouverte sur le monde!!!
Beaucoup de douceur, de joie et d'amour se côtoient dans tes récits. Felicitations.
Nicole

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FousDeLire.ca 
Fiche descriptive 
Parfum de rose et de tabac
Récits
12e année
Auteure  :  Lysette Brochu
Maison d'édition  :  Les Éditions du Vermillon
Collection  :  Parole vivante
Parution  :  2011
ISBN  :  978-1-92662-849-3
Nombre de pages  :  392
Mots-clés  :  autobiographie, famille, récit, valeur
Lien(s) transdisciplinaire(s)  :  
  • Sciences humaines et sociales
  • Aperçu
  • Contenu
  • Langue
  • Référents culturels
  • Pistes d'exploitation
  • Conseils d'utilisation
  • Aperçu
    Les fragrances des roses recèlent bien des secrets. Pour Lysette, elles évoquent le parfum préféré de sa mère, To a Wild Rose, d’Avon. Son père, lui, dégageait un arôme de tabac, comme tous les hommes des années cinquante. Après Saisons d’or et d’argile, Lysette Brochu tire à nouveau récits et anecdotes de son patrimoine familial où abondent drames et joies. Le cercle des amis n’est pas en reste et de touchants témoignages, livrés à la suite de décès, brossent des portraits colorés. (Tiré de la quatrième de couverture du livre.)
    Contenu
    • Autobiographie accompagnée d’une collection de photos personnelles et enrichie de textes divers parmi lesquels des lettres d’amour, des oraisons funèbres et des poèmes racontant la vie, les amours et les amitiés de l’auteure.

      « Les tableaux que je vous offre ici sont - comme le sont des instantanés, des images, des clichés - des fenêtres ouvertes sur des saisons de ma vie. » (p. 11)

      « Mon cher mari,
      Parfois, durant la nuit, avant d’éteindre ma lampe de lecture, je me penche sur toi, sans te toucher, et je te regarde dormir. » (p. 161)

      « Jamais je n’aurais pensé être ici en ce jour, à vous prononcer un éloge funèbre, à l’intention de mon ami André. » (p. 207)

      « Je referme le grand livre
      sur ton image jaunie… » (p. 334)
       
    • Narratrice participante dans le volet autobiographique; quelques séquences dialoguées intégrées aux anecdotes racontées; narration omnisciente dans certains textes composés en atelier d’écriture.

      « Aujourd’hui, grand-mère de quatorze petits-enfants, j’ai encore cette peur morbide, que la fatigue accentue impitoyablement, de perdre un de mes petits-enfants dans son sommeil. » (p. 82)

      « - On l’a forcée à venir avec nous autres. À cet âge, les jeunes ne veulent pas toujours suivre, me confie sa mère.
      - Ici? Mais où est-elle? dis-je.
      - Elle dort. Depuis quelques mois, Danielle est un peu rebelle. » (p. 166)

      « À dix-neuf heures, Linda a rendez-vous aux 
      Belles gourmandes, restaurant situé à quelques pâtés de maisons de chez elle. » (p. 297)
       
    • Extraits de chansons et d’œuvres littéraires, placés en exergue ou dans le texte, permettant de bien saisir la personnalité de l’auteure et l’étendue de sa culture francophone.

      « 
      Quelle magnifique soirée! Nos mains étaient jointes pendant toute la durée du spectacle. Jamais je n’oublierai la chanson :
      "Que serais-je sans toi, 
      qui vins à ma rencontre…" » (p. 139)

      « Si Voltaire a affirmé :
      "L’univers m’embarrasse, et je ne puis songer
      Que cette horloge existe et n’ait point d’horloger." […]
      Aujourd’hui, je crois qu’il faut parler d’une création permanente et non d’une création du passé. Voir la création qui se continue, sans interruption, et y voir Dieu comme Source. » (p. 336-337)

      « 
      Je regarde une rose et je suis apaisé.
      Victor Hugo 
      Du pain et des roses
      La Terre se meurt, levez-vous femmes de l’heure!
      Coupez le chou, chauffez la soupe, dressez la table. » (p. 349)
       
    • Textes présentés sans ordre précis; évocation d’événements et de rencontres le plus souvent datés, permettant de les situer dans le temps.

      « Ce matin, 2 janvier 2011, je lisais dans Internet :
      Une ex-enseignante de 73 ans a été tuée dans sa résidence d’Ancaster (Ontario) jeudi matin. Audrey Gleave… » (p. 49)

      « 1966. Jeune femme de vingt ans, en attente d’un emploi à temps plein, je remplaçais une enseignante… » (p. 85)

      « Un samedi de juillet 1959, mon père me parla du grand-oncle Ernest et de son épouse qui habitaient de l’autre côté de la rivière des Outaouais. » (p. 353)

    Langue
    • Registre courant, émaillé de quelques mots ou expressions populaires, dans la narration; registre parfois familier, truffé d’anglicismes, dans le discours direct rapporté, ce qui atteste de la réalité linguistique de l’entourage de l’auteure.

      « Une floppée de jeunes gens seraient conviés 
      au fameux party chez Marguerite. » (p. 75)

      « Leur parlure nous faisait rire souvent : la barouette, les atocas, les amanchures, les arêches de poisson, la bossuse, les bidous, la bouette, et encore… mais jamais un sacre ne venait enlaidir leur pensée. » (p. 20)

      « Peut-être aussi que j’vas prendre un 
      appointement chez la coiffeuse, pour une coupe duck tail, ça c’est si le Steinberg me cédule pas un shift… » (p. 78)

      « Je pelletais des nuages, rêvant au jour où, moi aussi, je pourrais caresser l’oreille d’une société […] être l’héroïne d’une rencontre de liseurs et de liseuses. » (p. 262)
       
    • Écriture accessible au lectorat visé; répétitions fréquentes de certains procédés linguistiques (p. ex., métonymie, phrase nominale, énumération), tons variés (p. ex., lyrique, émouvant, didactique) témoignant des préoccupations et des passions de l’auteure. 

      « …ce qui m’a permis d’exorciser plusieurs fantômes de mon esprit. Baume salutaire sur une plaie de l’âme. Douleur pacifiée. » (p. 49)

      « Impérissable souvenir d’un après-midi de la crise du verglas. Merveilleux moment de complicité entre une mère et sa fille, une prof et sa caméragirl. » (p. 134)

      « Ce jour-là, cher enfant, tu riais, sous l’azur tranquille des premiers jours de janvier, dans ton pays de manguiers, de bananiers et de figuiers. […]
      Ce jour-là, alors que le soleil déclinait à l’horizon, tout un peuple s’arrêta! Des cris de terreur sortirent de milliers de gorges, la durée d’une interminable minute. » (p. 215)

      « - Pierre 1er, son vrai nom étant dom Pedro, épousa Constance de Castille dans un mariage de convenance. » (p. 244)
       
    • Vocabulaire simple et précis; champs sémantiques et lexicaux reliés, entre autres, à la religion catholique et témoignant des croyances de l’auteure.

      « Je me demandais comment le cinéaste arriverait à nous illustrer de façon moderne et actuelle, le premier grand commandement : 
      Un seul Dieu tu adoreras et aimeras parfaitement. » (p. 193-194)

      « Marie, s’il te plaît, nous sommes venus te rencontrer, tu t’en doutes bien, nous avons une faveur à demander. […] Dis à ton Fils que nous sommes bien indignes de faveurs divines, mais nous avons confiance en Sa miséricorde et en Sa toute-puissante bonté. » (p. 246)

      « Lorsque j’avais perdu mon sac d’école, vivement j’invoquais saint Antoine de Padoue… Je partais en voyage : "Saint Christophe… protégez-moi!" J’étais malade? "Bon saint Joseph… guérissez-moi!" » (p. 315)

    Référents culturels
    • Innombrables référents de la francophonie canadienne et internationale parmi lesquels des lieux (p. ex., Hearst, Eastview, Ottawa, Hull, Québec), des artistes (p. ex., Gauguin, Van Gogh, Lamirande, Brel, Ferrat, Julien, Léveillé) et des écrivains (p. ex., Molière, Musset, Somain, Hugo, Duras).
    Pistes d'exploitation
    • Après la lecture de certains textes tels que Mon Outaouais et Les mots, inviter les élèves à composer un texte argumentatif sur le choix de l’auteure d’appartenir à la francophonie canadienne et internationale.
    • Demander aux élèves de trouver et d’écouter certaines chansons mentionnées dans l’œuvre (p. ex., Toujours vivant de Michel Rivard et Gerry Boulet).
    • Demander aux élèves d’écrire un tableau de la vie d’un personnage de leur famille.
    Conseils d'utilisation
    • Avant la lecture, parler de certains sujets délicats abordés dans l’œuvre (p. ex., prises de position de l’auteure par rapport à la religion).
    • Proposer aux élèves intéressés, la lecture d’autres œuvres de Lysette Brochu (voir l’annexe BIBLIOGRAPHIE/PUBLICATIONS aux pages 377 à 383).